Elles se sont connues à Durmstrang, bien qu'elles n'aient pratiquement rien en commun : elles ne faisaient pas partie du même clan et leurs caractères étaient parfaitement opposés. Pourtant, Solveig n'a pas pu s'empêcher de remarquer à quel point Krista semblait esseulée et elle a tenté de se rapprocher d'elle. Ce fut une réussite, Sol était l'une des rares - pratiquement la seule - amie de Krista, et elle le lui rendait bien. Si l'une n'était pas douée en société, l'autre n'était pas très douée en cours ; elles se soutenaient, s'épaulaient.
A leur sortie de Durmstrang, elles se sont perdues de vue. Ce n'est que récemment qu'elles se sont retrouvées, lorsque Krista apprit qu'une jeune femme du nom de Solveig Mikkelsen n'avait de cesse de s'acharner sur le gouvernement. Ne comprenant pas le comportement de son ancienne amie, la jeune femme décida de la revoir pour tirer cette histoire au clair. S'attendant à un vulgaire malentendu, elle fut bien surprise d'entendre les accusations de Solveig.
Une nouvelle fois, elles se retrouvent à l'opposé l'une de l'autre ; mais cette fois-ci, qui sait si elles seront capables de se rejoindre?

Être dans la ligne de mire du gouvernement ne suffisait pas à Solveig pour calmer le jeu, elle se fichait des conséquences et elle serait très certainement en prison si elle n'avait pas rencontré Lucian. Il l'a secouée une bonne fois, lui faisant prendre conscience que si elle continuait à agir de la sorte, tout ce qu'elle accomplirait ne servirait à rien. Pensait-elle vraiment pouvoir aider son frère, où qu'il soit, depuis une cellule? Il n'y est pas allé de main morte pour la faire redescendre sur terre, mais elle a finalement compris qu'il lui disait toutes ces choses pour son propre bien. Alors elle a accepté qu'il la prenne sous son aile, et depuis lors, elle vit planquée dans sa galerie d'art. Mais ce n'est pas pour autant qu'elle attend gentiment que le temps passe ; ensemble, ils tentent d'élucider le mystère entourant la disparition de son frère. Lucian lui apporte une certaine stabilité, tandis qu'elle le pousse à dépasser les limites qu'il s'est fixées.  

S'ils étaient déjà très amis à Durmstrang, ils se sont néanmoins perdus de vue à la fin de leurs études. Ce n'est qu'en intégrant la résistance qu'ils se sont retrouvés, et qu'ils ont découvert qu'ils possédaient quelque chose en commun ; ils cherchent tous les deux à retrouver leur frère. Celui de Solveig s'est volatilisé, tandis que Desislav n'a jamais connu le sien, puisqu'ils ont été séparés à l'orphelinat. Ensemble, ils se soutiennent, s'encouragent à ne pas abandonner, cherchent des pistes. Si leur quête semble impossible, les longues heures passées ensemble leur apportent plus de réconfort qu'ils n'osent l'admettre.  

Eux deux c'était loin d'être une évidence, loin d'être parfait. Lui l'artiste à la dérive et elle la fille façonnée à l'image de la perfection. Et pourtant, de cette image-là, Krista n'en voulait plus. Elle voulait autre chose, apprendre à exister par elle-même plutôt qu'au travers de ce qu'on voulait qu'elle soit. C'est la curiosité qui l'a poussée à visiter ce musée, où elle a rencontré Lucian. Plantés devant le même tableau, ils ont parlé des heures durant de cette passion qu'ils partageaient pour l'art. Il l'a recrutée pour bosser dans sa « galerie », qui n'était encore qu'un entrepôt minable, et elle a investi une somme considérable dans ses projets. C'est grâce à elle qu'il a pu aménager sa galerie, il lui doit beaucoup et il aurait aimé pouvoir lui rendre la pareille. Hélas, Krista a été contrainte de faire un choix entre vivre de sa passion ou mener la vie que ses parents ont rêvée pour elle. Ce n'est qu'en la laissant s'en aller que Lucian comprit qu'il ressentait peut-être plus pour cette fille qu'il ne voulait bien l'admettre. Quelle importance à présent, puisqu'elle est partie.  Ils ont failli se revoir à de nombreuses reprises, car Krista, nostalgique, passe souvent devant la galerie en ne sachant pas vraiment si elle espère l'y croiser ou non. La vérité, c'est qu'elle est terrifiée de se rendre compte qu'elle a fait le mauvais choix en décidant d'aller travailler au ministère. Et en ne le choisissant pas lui, Lucian.

Être dans la ligne de mire du gouvernement ne suffisait pas à Solveig pour calmer le jeu, elle se fichait des conséquences et elle serait très certainement en prison si elle n'avait pas rencontré Lucian. Il l'a secouée une bonne fois, lui faisant prendre conscience que si elle continuait à agir de la sorte, tout ce qu'elle accomplirait ne servirait à rien. Pensait-elle vraiment pouvoir aider son frère, où qu'il soit, depuis une cellule? Il n'y est pas allé de main morte pour la faire redescendre sur terre, mais elle a finalement compris qu'il lui disait toutes ces choses pour son propre bien. Alors elle a accepté qu'il la prenne sous son aile, et depuis lors, elle vit planquée dans sa galerie d'art. Mais ce n'est pas pour autant qu'elle attend gentiment que le temps passe ; ensemble, ils tentent d'élucider le mystère entourant la disparition de son frère. Lucian lui apporte une certaine stabilité, tandis qu'elle le pousse à dépasser les limites qu'il s'est fixées.  

Carmen fait partie de ces Sang-noirs que Lucian a hébergé dans son hangar, qu'il a protégé pendant quelques semaines, il y a pratiquement quatre ans de cela. La jeune femme l'a marqué de par sa douceur et son évidente sensibilité, le manque de son pays inscrit natal inscrit sur chacun de ses traits. Il lui a proposé de rester, mais elle est finalement partie, inquiète non par pour elle-même, mais pour lui avant tout. Il ne l'a pas revue depuis, mais l'a gardée en tête, se souvient de sa fragilité et de son regard perdu. Il espère la revoir, s'assurer qu'elle va bien, croit la voir parfois dans de longs cheveux noirs et un regard tout aussi sombre... il est loin de se douter qu'elle est devenue l'un des jouets de la mafia, qu'elle se vend auprès du boss de la Bratva simplement pour survivre.

S'ils étaient déjà très amis à Durmstrang, ils se sont néanmoins perdus de vue à la fin de leurs études. Ce n'est qu'en intégrant la résistance qu'ils se sont retrouvés, et qu'ils ont découvert qu'ils possédaient quelque chose en commun ; ils cherchent tous les deux à retrouver leur frère. Celui de Solveig s'est volatilisé, tandis que Desislav n'a jamais connu le sien, puisqu'ils ont été séparés à l'orphelinat. Ensemble, ils se soutiennent, s'encouragent à ne pas abandonner, cherchent des pistes. Si leur quête semble impossible, les longues heures passées ensemble leur apportent plus de réconfort qu'ils n'osent l'admettre.  

Lorsque Desislav a remarqué que quelqu'un, tapi dans l'ombre, pointait sa baguette d'un air menaçant droit sur Stefan, il n'a pas hésité une seule seconde avant d'agir. Il lui a vraisemblablement sauvé la vie ; ce qu'il ignorait, c'est que Stefan travaille lui aussi au Ministère, mais à un poste beaucoup plus haut placé que celui du simple archiviste qu'il était alors. C'est donc en guise de remerciement que Stefan a parlé de son exploit à ses supérieurs, et lui a permis de passer les tests pour devenir Auror. Ils sont alors devenus bons amis, mais à présent que Desislav s'est fait virer, ils ne partagent plus du tout le même point de vue. Leurs désaccords les éloignent ; Desislav aimerait forcer son ami à ouvrir les yeux, tandis que Stefan voudrait lui faire prendre conscience qu'il gâche sa vie et ses opportunités d'avenir.