Statut du sang : résolument purMessages : 3698Date d'inscription : 07/07/2011Localisation : au ministère
Ҩ SPEED DATING || Les textes ! Ҩ Jeu 2 Juil 2015 - 20:30
Les textes
La galerie des textes
Affichez vous pour obtenir la gloire éternelle
C'est ici que vous allez pouvoir poster vos RPs de l'animation, juste à ma suite.
N'oubliez pas de nous prévenir sur le sujet explicatif quand vous postez un nouveau texte, ça nous aidera à tenir compte et savoir quels points attribuer.
La mise en page est libre, si vous voulez ne pas en mettre c'est aussi votre choix. Précisez juste en haut du RP entre qui et qui le texte se déroule, et pointez donc votre nez dans le flood qu'on commente et décortique le texte
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Ҩ Re: SPEED DATING || Les textes ! Ҩ Lun 6 Juil 2015 - 20:37
Spoiler:
Je me lance donc ! J'ai eu la joie immense de piocher le nom de Mordaena Iskrov pour ce SPEED DATING. J'espère avoir rempli toutes les conditions et je m'excuse par avance d'utiliser sans vergogne la belle et tendre Mordaena dans les fantasmes d'Andreï...Je m'excuse également pour le double sens peu subtile de mon premier paragraphe En espérant que ça vous plaise néanmoins ! Etant mon premier RP Romance, j'attends vivement vos critiques et vos conseils pour rendre le style moins niais ;)
Un souffle. Léger. Il fait d'abord vibrer quelques branches, secoue les feuilles qui bruissent de mécontentement, puis s'en lasse. Il prend de la hauteur, se gonfle, s'enfle de courants d'air, et se retrouve bien vite au dessus d'une mare de feuillages comme il surplombe la forêt. Il fuse, roule et s'amuse. Petit courant qui se dore au soleil. Il devient chaud et nerveux. Il ondule à travers champs, ruisseaux, dépasse des navires qui jaillissent brutalement de l'eau. Il les évite, planant et serpentant dédaigneusement, venant se rafraîchir sur les ondulations calmes d'un lac noir, emportant avec lui quelques gouttes salées. Il rase une pelouse humide, en inspire la saveur exquise, hérisse les brins de plaisir avant de les abandonner, moqueur. Il s'élève encore, grossissant, s'enorgueillit, il devient un moment une bourrasque et plongeant sur les dalles noires en pierres vieillies, soulève des capes, des couvre-chefs et quelques fois, malicieux farfadet, il se glisse sous les jupes, s'y engouffre tout entier, puis souffle tout de go pour en soulever le textile. Un cri suraigu, deux mains nerveuses se rabattent et il s'enfuit, rigolant dans un murmure, sifflant entre deux interstices, il s'y cache puis reprend sa folle course. Il court le long d'un mur circulaire, érigé en une tour interminable, il la remonte en spirale, en fait le tour, tape et fait frémir les fenêtres dans un souffle puissant, chargeant de plus belle, mais ne trouve aucune ouverture, aucun passage. Puis un éclat l'attire, scintillement tintant d'une vitre ouverte, il s'y précipite avec ardeur, le cœur battant. Il entre et débouche dans un couloir. Sombre et chaud. Une odeur rance le fulmine, il s'en vexe et poursuit le chemin. Mais l'odeur lui colle à la peau, impossible de s'en débarrasser, le courant d'air se débat, se retourne dans tous les sens, faisant voler feuillets et plumes, il se débat violemment, sans succès. Vaincu, il continue sa route, ondulant tristement. Puis au loin, des fils. Des fils rouges. Il peut en sentir d'ici le parfum doux et subtil. Il se jette dessus, fébrile et s'y roule, les soulevant en boucles pourpres, jouant avec : les levant, les lissant et quelques fois les entortillant. Il se pare de leur senteur, s'enivre, odeurs à la fois de rose et de jacinthe, saupoudré par une légère acidité tout à fait délectable. Arborant ce nouveau manteau de senteurs, il quitte les brins roux puis s'enfuit, encore tout fatigué par le tumulte de sa danse frénétique. N'y prenant pas gare, il s'arrête un moment pour reprendre son souffle, mais deux grands trous l'aspirent. Il disparaît, englouti et avec lui la folle odeur d'un moment magique.
Andreï relève la tête, surpris, et se frotte machinalement les narines. Quel parfum est-ce là qui l'attire ? Un ensemble parfait et coloré de saveurs, s'élevant dans des bouffées fruitées, captivantes. Le jeune ombre cherche d'un regard inquisiteur d'où peut provenir un aussi admirable parfum. Juché sur un banc de pierre, dans un couloir étroit, bouquinant comme à son habitude, il sort pour une fois la tête de ses lectures pour suivre un besoin primaire. C'est indigne de lui, mais malheureusement, il ne peut se contrôler. Un nouveau courant d'air fait palpiter les pierres noires du château, gonfle et soulève amoureusement les cheveux rouges d'une jeune élève. Il tourbillonne un moment et se décide à venir une nouvelle fois déposer son odeur exquise à l'orée du nez du bulgare. Andreï pose des yeux curieux et fascinés, n'arrive pas à se détourner de la jeune femme, beauté brute à la chevelure de braise.
C'est une jeune Iceberg, adossée contre un mur, elle discute innocemment passant par moment un doigt dans ses cheveux, les bouclant, puis tirant dessus pour en faire des anglaises luisantes, reflétant par éclats la malice du soleil.
*Fais gaffe, t'es en train de baver gamin.*
Ne prêtant aucune attention à la moquerie douteuse du renard, Andreï déglutit difficilement, toujours concentré sur le jeu des boucles et des ondulations. Sa respiration se saccade soudain et sa cage thoracique devient un étau, enserrant ses poumons avec force, les vidant de tout air. Le jeune homme suffoque presque, mais n'en laisse rien paraître. Puis deux yeux clairs, disposés avec une délicatesse et douceur admirable, dessinent un regard déstabilisant, profond et mystérieux, qui se pose sur lui. Les deux jeunes gens se fixent, les visages figés. Andreï ne sait comment réagir, il serre légèrement ses lèvres sèches pour les humidifier puis tente un petit sourire qu'il sait timide, une moue maladroite qui étire deux fossettes à ses joues. Un sourire radieux apparaît comme réponse, illuminant tout le charme d'un visage fin, quoique pâle, mais sculpté d'une main de maître.
Ne pouvant bouger, Andreï la fixe encore un peu, dévoilant un sourire plus franc, mais pris de panique, baisse son regard troublé dans les pages rassurantes de son livre. Sa lâcheté lui empourpre les joues, et ses dents mordent avec violence dans ses lèvres.
*Tu la désires hein ?*
*Tais-toi.*
*Passe à l'attaque, si elle te plait autant.*
*J'ai...pas le temps...il faut que j'avance sur...*
*Tiens-toi prêt tombeur, elle est plus courageuse que toi.*
Une main, petite, aux longs doigts fins, se pose en douceur sur son épaule, le faisant frissonner. Levant les yeux, la belle rousse le foudroie d'un nouveau sourire.
La porte s'ouvre avec fracas, venant s'écraser brutalement contre le mur dans un claquement sourd. Deux corps enserrés émergent, puis une main aveugle cherche à refermer la porte, tâtonne puis trouve le contact rugueux du vieux bois. Un vif coup de poignet, les battants se plient dans un élan impérieux et la porte se referme aussi violemment qu'elle s'est ouverte. Andreï et Mordaena, les bouches liées par une ardeur empressée, étreignent violemment les uniformes bruns, faisant craquer les fibres pourtant solides de leurs tenues. Le jeune bulgare la pose alors doucement contre un mur, approche une nouvelle fois sa bouche, puis se stoppe à quelques millimètres des lèvres charnues et délicate de la belle rousse. Leurs respirations se synchronisent alors, lourdes et lentes, bruyantes, résonnant dans la petite pièce de marbre. Les lèvres brûlantes et douloureuses profitent de ce répit pour s'apaiser un moment, tandis qu'Andreï plonge son regard dans les pupilles bleutée de Mordaena, cercles brillants aux arabesques envoutantes. Le jeune homme lève sa main et vient la poser sur la pommette de Mordaena, et la caresse délicatement pour souligner l'amande de ses yeux. Les deux jeunes gens se sourient puis Andreï appose un nouveau baiser, très doux ce coup-ci, qui reste suspendu un moment, puis les lèvres s'entremêlent avec lenteur, dans une valse régulière, les bouches se goûtant passionnément. Puis une bouche se fait tantôt malicieuse, se fermant sur la lèvre supérieure, la tirant doucement à elle, tantôt elle quitte l'orle pour venir embrasser les commissures, avant de s'enfuir définitivement dans le cou, enflammé, qui se soulève au rythme des palpitation effrénées. Andreï descend jusqu'au col, et ses mains déboutonnent les premiers boutons de la tunique. La clavicule se dégage alors, ligne à peine saillante, et il y dépose ses lèvres, suivant la courbe osseuse et pourtant incroyablement douce. Sa main tient sa taille fine, secouée par les frissons de ses baisers, élancée par des soubresauts incontrôlés. La main fait des va et viens sur ses hanches, pendant que les bouches, un peu plus haut, se rejoignent encore, passionnément. La main s'aventure alors, plonge le long de la cuisse, écrasant les plis robustes de la jupe, puis atteint la partie nue, la chair veloutée et fragile. Le majeure et l'index décrivent un ballet, en cercles denses et lents et le rythme des baisers s'accélère, mêlé à une respiration plus étriquée, sauvage. Andreï ne contrôle alors plus rien, son corps entier s'anime sans son accord et sans qu'il ne le veuille...Les doigts remontent le long de la cuisse, se perdent sous la jupe, et se voient bien vite mouillés.
*Tu vois quand tu veux, tu peux faire fondre les Icebergs*
En lieu et place du visage de la rousse, un renard au sourire malsain, fixe Andreï. Le jeune homme se dégage violemment, apeuré, et le renard, toujours avec le corps parfait de Mordaena, entre dans un fou rire qui semble rebondir sur les murs, dans des échos désynchronisés.
Andreï reprend vivement sa respiration, comme s'il émergeait brutalement d'une eau glacée. Il est de nouveau sur le banc, le livre dans ses mains, la légère brise emportant l'odeur savoureuse de la jeune iceberg. A ses côtés, le renard ne se remet pas de sa blague et de sa fourbe manipulation hypnotique. Sur le dos, les quatre pattes en l'air, son corps ondule comme un vil serpent sous le coup d'un rire interminable qui étire ses babines jusqu'aux oreilles.
*Merci...j'apprécie.*
*Allez ! Ne prends pas la mouche ! C'était pour te montrer quelque chose d'important !*
*Pardon ?*
*Ce que tu peux faire, comment tu peux les manipuler. Tu es intelligent, sympathique aux yeux des autres. Mais tu ne te permets aucun contact avec eux. Que cela te plaise ou non, si tu peux atteindre les sommets du "politicus" et de tes ambitions, tu dois remplir certaines conditions liées au..."sexus".*
Un large sourire déforme le museau du renard. Andreï sait pertinemment qu'il a raison, cette année il doit s'ouvrir aux autres, créer des liens forts pour gagner en influence. Les contacts sont essentiels à ses ambitions futures. Il se doit de faire des efforts.
Mais plus facile à dire qu'à faire, aurait-il le courage, là, maintenant, d'aller aborder la belle rousse ? Aurait-il le courage de...
Une main, petite, aux longs doigts fins, se pose en douceur sur son épaule, le faisant frissonner. Levant les yeux, la belle rousse le foudroie d'un nouveau sourire.
*Hey !* dit-elle d'une voix amusée.
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Ҩ Re: SPEED DATING || Les textes ! Ҩ Ven 24 Juil 2015 - 16:51
FLASH SPECIAL JOURNAL DE DURMSTRANG
Ici Kolya Alexandrovitch, pour vous annoncer la funeste nouvelle du jour.
Vous l'avez sans doute remarqué, chers étudiants et étudiantes, mais depuis quelques temps, nous ne voyons plus errer dans les couloirs la silhouette voûtée mais pas moins joviale de notre émérite professeur, j'ai nommé William John Smith, enseignant la métamorphose avec un talent certain. Cet homme, qui auparavant nous distrayait sans rien demander en retour, avec force facétie et autres burlesqueries infantiles, nous a malheureusement quitté hier après midi, le 13 Octobre, d'une manière bien tragique, convenons-en ; mais pas moins étonnante !
Vous ne connaissiez ce cher Mr Fish que dans un cadre scolaire strictement professionnel, mais avez vous seulement pris un instant pour vous intéresser à sa vie personnelle, ses choix et ses rêves ? En enquêtant sur sa mort, voilà ce que j'ai appris de ceux qui le fréquentaient au jour le jour. Ce cher Mr Fish n'avait aucun parent proche ni enfant ; ce pauvre homme n'a jamais voulu se marier ni vivre une vie de famille, chaque prétendante était repoussée sans toute autre forme de cérémonie. Notre cher Animagus aimait vivre sa vie au jour le jour, tel un cheval fougueux des prairies d'Amérique, un mustang sauvage et incontrôlable qui n'aurait sans doute jamais cherché à rester dans cet institut si son amour inconditionnel pour l'enseignement ne l'avait pas poussé à errer entre nos murs, répendant de ce fait sa joie et sa bonne humeur au milieu de note foule estudiantine passionnée. Mais le froid convenait-il réellement ? Que lisions nous dans les yeux de ce cher homme profondément investi dans son métier, lorsqu'il lisait le journal en buvant son thé citron, chaque matin ? Avions nous pu percevoir une quelconque détresse dans le regard de ce grand homme qui semblait avoir investi toute son énergie à remplir nos têtes vides, et à nous faire rire ?
Non, chers élèves, non. Nous n'avons rien vu parce qu'il n'y avait rien à voir. Mr Fish était HEUREUX. Et en bonne santé, cela va sans dire.
Ceci dit, son amour inconditionné pour les champignons hallucinogènes poussant dans notre merveilleuse forêt noire n'a sans doute pas dû arranger son cas. Le drame a sans doute commencé à ce moment là, il y a environ un mois. Une histoire de champignons qui fera revivre un mythe dont nous avions oublié jusqu'à l'existence, pauvres petites bêtes illéttrées que nous sommes. Ô désespoir ! Ô chagrin que de vivre cette tragédie dans son sens le plus profond sans en comprendre les subtilités !
Ce matin là, Mr Fish est descendu comme à son habitude, à six heures pour une cueillette dans l'air frais de notre merveilleuse contrée. L'homme portait (d'après des sources fiables) un pardessus noir, bien que cela n'ait strictement aucune importance. Il est rentré vers huit heures, frais comme un gardon pêché du jour, tenant dans sa main un magnifique panier d'osier ouvragé par sa tante Gertrude, contenant plus de champignons qu'il ne pourrait jamais en manger dans toute sa belle et oisive - et courte ! - vie. Quelques personnes l'ont alors vu se diriger d'un pas agile et leste vers son bureau ; pour une quelconque décoction sans doute ! Voilà à quel moment nous aurions dû présager le pire. Pourquoi personne n'a-t-il réagi à cet instant ? Car en effet, si ce cher Mr Fish n'avait pas bu son infusion aux champignons... Sans doute serait-il encore vivant à l'heure actuelle.
Confondre un verre d'eau et un flacon de filtre d'amour confisqué la veille à une jeune Eclair trop passionnée, ce n'est pas véritablement commun. Et pourtant, c'est à l'origine de toute cette funeste histoire. Victime des hallucinations psychédéliques envoyées directement à son cerveau par les terribles moisissures, notre William a soudainement eu soif ; attrapant de ce fait la première chose qui lui tombait sous la main, il a avalé la totalité de la fiole d'amorthancia de passage. Overdose ? Mauvais mélange ? Nous n'en savons rien. Mais c'est à partir de ce moment là que notre chère communauté étudiante a commencé à entrapercevoir des signes perturbants chez notre professeur, plus sérieux que jamais en temps normal.Bon, non. Mais pas à ce point.
Un sourire rêveur a commencé à naître sur les lèvres du professeur Fish, un sourire qui laissait entrevoir une nouvelle passion absolue pour quelque chose - quelqu'un ? Nous n'en savions rien, hélas - et nous ne pouvions plus le croiser dans les couloirs sans nous interroger. De qui était-il tombé amoureux ? Qui avait finalement réussi à dompter cet étalon sauvage ? Ah, peut être que si nous l'avions su, nous aurions pu le sauver, chers élèves. Mais voilà, la naïveté donc nous avons tous fait preuve plongea le professeur Fish dans les abysses impénétrables de la mort.
Progressivement, le mal de William (appelons le familièrement, cet homme fabuleux) a progressé dans son esprit affaibli par l'overdose de filtre d'amour. Il frottait amoureusement sa main contre sa joue en murmurant des mots tendres "qu'il est beau, si parfait, si merveilleux, mon dieu" ou encore joignait ses mains à longueur de journée, passant ses pouces sur le dos de l'opposée avec plus d'affection qu'un couple de sitcom. Nous en étions sûrs : Mr Fish était amoureux. Mais de qui ? Qui était l'élu de son coeur, comment avait-il finalement pu succomber aux charmes d'un homme (nous n'en doutions pas) aussi rapidement ? Vous avez été nombreux à enquêter, mais personne n'a trouvé l'ignoble vérité. Pas même lorsque cette chère âme a fait installer une vingtaine de miroirs dans sa salle de cours pour mieux s'y admirer en battant des cils. Bien sûr, il faisait preuve de la plus stricte des retenues devant ses élèves ; mais des esprits frappeurs m'ont raconté que dans l'intimité, tout le temps que Mr Fish passait à préparer des farces, il le dépensait des lors à embrasser langoureusement (oui, langoureusement) son reflet dans chaque miroir qu'il pouvait croiser. Voilà la vérité, mes chers compatriotes. Mr William J. Fish était tombé follement amoureux de son propre reflet.
La dose ingérée de filtre laisse à supposer que les effets se seraient progressivement estompés au bout de trois semaines, si seulement il avait pu atteindre ce laps de temps en vie ; ce ne fut malheureusement pas le cas. Nous étions tous inquiets de son absence et nous lui en avons fait part, mais Mr Fish nous rassura ce jour là en nous avouant que "Jamais je n'ai été aussi heureux avec moi-même, Kolya." Nous pensions que ce cher homme avait finalement trouvé l'équilibre psychique parfait, qu'il s'était autoréalisé ; nous en sommes donc restés là. Un élève a malgré tout posé la question fatidique, à savoir : qui était donc l'élu de son coeur ? Ce à quoi Fish nous a congratulés d'un sourire rêveur, en répondant "Il n'y a que moi qui sois capable de me combler, mes chers étudiants." et il est parti, en sifflotant Un Chaudron Plein de Passion. Ah ! Si seulement nous avions su !
Le drame s'est déroulé hier, en fin d'après midi. Notre cher professeur choisit ce jour là d'aller faire une promenade dans le bois "Romantique" précisa-t-il à l'un de ses collègues qui lui demanda, sur le ton de la confidence "Mais avec qui ?". Quel ne fut pas son étonnement lorsque son vis à vis lui répondit avec un sourire béat. "Moi, voyons." La dernière fois que nous avons vu Mr Fish, il se dirigeait vers la forêt noire. La suite, nous le savons par quelques témoins curieux qui ont eu le courage d'aller interroger les créatures de la forêt ; notre professeur de métamorphose s'est promené dans des chemins éclairés, chantonnant des chansons d'amour et se parlant à lui même, faisant seul les questions et les réponses ; puis, fatigué, il se dirigea vers un point d'eau pour se désaltérer, avant de rentrer. Quel ne fut pas son bonheur lorsqu'il aperçut l'homme qu'il aimait, dans le reflet de l'eau ! "Oh tu es là" dit-il avec une voix pleine de tendresse. Sa main effleura délicatement la surface de l'eau pour caresser son reflet qui lui souriait amoureusement ; éperdu, à bout de souffle, William John Fish se pencha en avant pour lui offrir le plus beau baiser qu'un homme puisse offrir à l'amour de sa vie. Mais, maladroit, il chuta dans l'eau. Alourdi par ses vêtements (toujours ce veston noir. Quelle faute de goût !) il ne put remonter à la surface ; oui, chers élèves, Mr William s'appelait "Fish" mais voilà son grand secret inavouable ; il ne savait pas nager. Il fut repêché par un centaure une heure plus tard, les poumons pleins d'eau. Son idylle tragique avec lui même venait de prendre fin.
Ainsi se termine l'histoire d'un professeur émérite qui ne fit que jouer de malchance, malchance qui lui coûta la vie. Toute l'équipe du journal souhaite exprimer, à travers cet hommage, notre profond respect envers l'homme fabuleux qu'était notre enseignant ; nous espérons que son amour profond pourra perdurer dans le monde des morts ; même s'il se murmure dans les couloirs que certains élèves auraient vu un fantôme lui ressemblant, embrassant passionnément les miroirs de la salle de bal. Nous prions pour que l'esprit de Mr Fish soit en paix ; mais il semblerait qu'il soit condamné à chercher désespérément à rechercher son reflet dans le château.
Voilà la dernière leçon que nous aura offert Mr William J. Fish : La drogue, c'est mal !
C'était Kolya Alexandrovitch, pour le Durmstrang Mag.
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Ҩ Re: SPEED DATING || Les textes ! Ҩ Lun 10 Aoû 2015 - 19:53
(J'ai pioché Valeryia, une pioche très audacieuse mais bon xD).
Dans le lit, Lins caressait sensuellement la jambe de Valeryia. Sa main remontait tout doucement du mollet jusqu'à la cuisse. Et au moment propice où les jambes de Vénus le laisseraient entrer dans la caverne aux 7 merveilles, Valeryia lui chuchota :
« J'aimerais bien te lêcher les aisselles. »
Lins cligna des yeux et arrêta sa caresse, un peu troublé et freiné dans son élan.
« Qu'est-ce que t'as dis ? »
« J'ai dis que j'aimerais bien te lécher les aisselles. »
Finalement, il pensait avoir mal compris au début pour finalement se rendre compte qu'il ne s'était pas trompé : elle voulait lui lécher les aisselles.
« Demande moi autre chose. Je veux bien répondre à tes fantasmes mais y a des limites. »
Depuis Durmstrang, Valeryia et lui s'étaient rapprochés et elle avait finalement décidé de se débarrasser de sa folie et de se faire opérer par l'ex Serdaigle – désormais médicomage. Depuis, la blonde était tout à fait normale: plus de sautes d'humeur, puis de symptômes de délire mentaux, etc. Lins avait finalement réussi à prouver que ses théories étaient applicables et pouvaient améliorer sensiblement la vie des gens. Le seul inconvénient après qu'il ait opéré Valeryia, c'est que certaines séquelles, dues à toute cette maladie mentale pendant tant d'années, réapparaissaient. Moins fort, mais tout de même. Tel que des fantasmes bizarres, ou des demandes en mariage insolites par exemple...Ce qui était coutume pour Lins d'entendre car désormais, ils étaient fiancés !
Il commença à l'embrasser dans le coup en même temps qu'il reprit la caresse qu'il avait laissé de côté suite à la demande surprenante de l'ancienne Éclair.
« Chéri..On pourrait se marier dans un supermarché? »
« Au rayon congélo ? »
« Non, près des boîtes des conserves. »
« Ok ça me va. »
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Ҩ Re: SPEED DATING || Les textes ! Ҩ Sam 15 Aoû 2015 - 18:03
Speed Dating - Draby
You push me away time and again and then pull me towards you. Don’t… Don’t you understand? I love… you. What I wrote in that letter, do you think it was an impulse, a passing infatuation, it was the truth. …Still is the truth. All the reasons you expand why we can’t be together, none are of the heart. I have to fight every instinct I have pulling me toward you. When I’m near you, I am aware of every breathe you take. And when I’m away, even the wind in the trees remind me of you
Un cri s'échappa dans la nuit, faisant frémir toute la maisonnée tant il était puissant et haut perché. A croire que la personne qui hurlait avait avalé une banshee lors du dîné. C'était d'une certaine manière plutôt comique lorsqu'on avait cette image en tête, mais voilà tu n'étais pas d'humeur très joyeuse. En effet, ce cri te tira brutalement hors des bras de Morphée pour te ramener à la pleine réalité. Oh ! Elle était belle cette réalité, car tu avais tout contre toi un corps chaud qui semblait te protéger dans ton sommeil, mais avec le cri qui continuait, il n'y avait pas moyen de pleinement en profiter. Alors que tu cherchais à te donner du courage pour te lever et aller à la rencontre de ce cri, la présence à tes côtés se mit également à bouger et elle déposa un baiser sur ta chevelure avant de dire. « Je m'en occupe, rendors toi. » Et c'est avec grand plaisir que tu admiras ton protecteur, ton ami, ton amant, sortir des draps dans le plus simple appareil. Cela faisait quelques années maintenant que vous étiez ensemble, mais il fallait bien avouer que cette vue avait toujours autant le don de te faire frémir. Surtout qu'il était vraiment bien pourvu de sa personne, et tu le regardas s'éloigner du lit, enfin plutôt tu regardas son postérieur sortir de la chambre. De longues minutes, si ce n'est des heures passèrent avant que le cri se mette à cesser et même si tu avais essayé à te faire a nouveau entraîner dans les bras de Morphée, tu n'avais pas réussi. Alors tu t'étais mise à attendre impatiemment le moment où l'homme de ta vie reviendrait dans le lit. Et cela ne tarda pas, lorsqu'il revient et qu'il constata que tu n'étais pas endormi, il fit une petite moue en disant ces mots. « Si tu étais aussi réveillé, tu aurais pu venir m'aider. » Bien évidemment, tu t'étais attendu à cette réaction, mais après tout c'était à son tour de s'occuper de tout petit dérangement du sommeil et c'est donc malicieuse que tu lui annonça. « J'avais prévu de t'offrir une merveilleuse récompense, mais si tu n'es pas d'humeur je pourrais comprendre… » Tu mordillas alors tes lèvres tout en le regardant avec insistance et sans que tu eus besoin d'ajouter autre chose, il se précipita sur toi, pour finalement arriver sur ton corps. Ses lèvres ayant trouvé les tiennes, scellant ainsi un baiser plein de tendresse et plus encore de passion.
Mais soudainement, alors que vous vous apprêtiez à passer à la vitesse supérieure, un cri s'éleva à nouveau, coupant ainsi tout votre élan. Il se laissa tomber à côté de toi en mettant un coussin sur son propre visage. Comprennent parfaitement la signification de son geste, tu poussas un léger soupir et tu t'extirpas à ton tour des draps. Le contact avec le sol froid de la chambre te fit frissonner et te poussas à enfiler des chaussons avant de sortir. Tu traversas le couloir de l'étage, appelée par le bruit. Arrivée devant une porte tu eus un moment d'arrêt, comme si tu te préparais psychologiquement, puis, tu pénétras dans la pièce. Trois berceaux s'y trouvaient, deux d'entre eux étaient calmes, mais le troisième… On se serait cru en pleine guerre… Tu t'avanças donc et arrivé à sa hauteur, tu pris dans tes bras ta petite Crêpe Suzette qui n'avait de cesse de crier. Mais tandis que tu cherchais à la calmer en la berçant, tu remarquas qu'une odeur flottait dans les airs. Soudainement tes yeux s'écarquillèrent lorsque tu pris conscience de l'odeur, qui venait des lèvres de Crêpe Suzette : pas étonnant qu'elle se soit remise à crier alors que Drago l'avait bercé tantôt ! Il allait t'entendre celui-là, et pas qu'un peu ! Surtout que ce n'était pas la première fois qu'il agissait de la sorte ! Tu restas donc dans la chambre des petits pendant de longues minutes avant que Crêpe Suzette se calme et que tu puisses la remettre dans son berceau, avec un peu de chance elle ne hurlerait pas à nouveau. Au pire des cas, tu lui lancerais un sortilège de silence, au moins vous auriez la paix pour le restant de la nuit… Tu te décidas à faire le tour des deux autres berceaux, dans l'un d'eux dormait à poing fermé Banana split. Un vrai petit ange, qui ne pleurait que peu. Et dans le dernier se trouvait Gaufrette, qui tenait tout contre elle le cadeau de sa tante : un doudou en forme d'Acromentule. Autant dire qu'Irina avait fini par avoir un certain sens de l'humour.
Un dernier regard sur tes triplés et tu finis par quitter leur chambre pour retourner dans la tienne. Dès que tu refermas la porte derrière toi et que tu posas ton regard sur Drago, ce dernier écarquilla les yeux, car tu devais certainement lui lancer des éclairs. Et tu lui sautas soudainement dessus telle une furie en lui disant. « Drago !! Tu as une nouvelle fois confondu le lait avec le whisky !! » Le frappant à l'épaule, tu ajoutas. « Tu veux que nos triplés deviennent tarés dès leur enfance ?!! Et qu'on devienne tarés avec eux ? Car je t'assure que si Crêpe Suzette continue de hurler à cause du whisky avalé je vais exploser !! » Mais il ne semblait pas vraiment très épouvanté face à ta fureur, car il décida de te faire basculer pour finalement arriver sur toi et avec des baisers dans le cou, il parvint à te faire taire et c'est donc facilement que tu te laissas aller dans le plaisir. Passant donc de la colère au bonheur le plus pur. Car oui, être avec Drago, malgré les petits moments désagréables, c'était du pur bonheur. Il fallait bien avouer que lorsque tu étais à Durmstrang, tu n'aurais jamais imaginé finir avec lui, car à cette époque trop de noms de garçons revenaient sans cesse et devant tous : Onisim. Mais il avait fini avec cette maudite Enora -que tu avais voulu voir dans l'estomac d'un dragon sans grand succès-, et tu avais bien du cesser de penser à lui. Et puis… après la réussite de ta dernière année, tu avais retrouvé Drago et tout s’était lancé à une vitesse impressionnante. L’amitié. Le couple. Le mariage. La maison. Les triplés… Mais maintenant tu étais heureuse, pleinement heureuse, car le Draby c’est la vie !
crackle bones
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Ҩ Re: SPEED DATING || Les textes ! Ҩ Mer 26 Aoû 2015 - 3:39
Voilà mon texte pour l'animation d'été ! Je suis plus ou moins à l'aise de RP avec les personnages des autres (surtout les bogoss comme Arsenic ) donc je suis allé sur un genre différent. Dédicace spéciale à Lizzie, j'espère que ça va te plaire Ah et le couple c'est Arsenic x Roman, les plus beaux Éclairs au monde
Speed Dating - Arseman
In my left hand there is the familiar and in my right hand there's the great unknown. I can see the madly different gross there, but I'm drawn to wilder nights at home. Don't listen to your friends. See the despair behind their eyes. Don't listen to your friends. They only care once and a while. I can feel the draw. I can feel it pulling me back. I could love you. I know I could.
Des regards à la dérobée, un sourire plein de contenance, il n'y a aucun mot pour porter mesure à ma haine, celle des gens faibles. Ils vivent leur amour dans l'insouciance, entre les murs de ce château, en oubliant le plus important, comme si coller leurs bouches scellaient un quelconque sentiment. Qu'est-ce qui est le plus important ? Le pouvoir, devenir meneur, ce n'est rien si ce n'est pour être plus haut afin que tu puisses me contempler. Tu ne m'aurais jamais vu, si je n'avais pas pris sa place, si je n'avais pas repris ma place. Sept parties de mon coeur éparpillés dans les ruines du château. Sept choses qui me rappellent un nom. Sept, pourquoi sept ? Parce que sept, c'est le nombre des Horcruxes, le nombre des péchés, que Seth est l'enfant venu au monde après la mort d'Abel. Parce que sept, c'est le nombre se rapprochant le plus du sceptre, que tu es celui me rapprochant le plus d'un spectre, hagard, fantôme de Verlaine.
Mon premier se cache dans les herbes qu'il prend la peine de fumer, dans la douce extase qu'il achète pour pouvoir oublier. Chaque chose lui rappelle cette mort et pourtant, si tu me regardais un peu plus, si tu me portais attention, tu ne pourrais plus te passer de moi. Je suis essentiel au clan pour que celui-ci ne sombre pas dans le désordre. Mais sans toi je suis un chaos de tonnerre, un chat grondant en quête d'un ronronnement, un Éclair sans lumière, un orage sans pluie.
Conquérir le clan, se propulser au sommet, à quoi bon être une étoile si tu ne lèves même pas les yeux vers le ciel pour me voir. Je peux remplacer toutes les héroïnes, être ta mari, être ton mari, ce qu'on s'en fout, quels sorciers prennent la peine de se droguer.... Si en un cachet, je pouvais tout cacher, je ferais en sorte que tu puisses tout oublier. Je serai ton joint, je serais ton con joint, soyons des conjoints et cessons d'exister. Nos yeux deviendront rouges alors que nous rirons aux éclats et que le monde ralentira, seulement une seule fois.
Mon premier se cache dans les herbes qu'il prend la peine de fumer, mon second est un ruisseau éthylique sifflant dans nos veines. Le feu les embrase avec la contenance du brasier, Levski serait jaloux. Qu'a-t-il d'une flamme comparativement au torrent qui coule dans nos veines ? Nous portons la fiole à nos lèvres, je veux tinter à ta santé, à celle du clan, car même si je ne veux que ta mort, je veux ton bien. De tous, tu dois être le seul que j'anéantirais. Tu sais, comme il disait, aucun d'eux ne peut vivre tant que l'autre survit. Mais je ne suis pas Harry, ah ris, ris de mes blagues, de mes pitreries, ris tant que tu peux, tu n'es pas mon Voldemort tu es mon vol de liberté. Ce que c'est ridicule, mais les proses ne sont pas ce que je maitrise, c'est la torture de rat, et j'ai si peur, si peur de me prendre un râteau...
Une soirée où l'alcool coulerait et que je pourrais me laisser aller à des pensées disparates, promenant mes lèvres le long de ta nuque pour mordiller le lobe de ton oreille, une chaleur se logeant dans mon bas-ventre, mais ne jamais le faire, simplement à l'aise dans des pensées embrumées. Des pensées réconfortes nées de l'ambre de nos boissons, de vaines et de perdues inhibitions.
Mon premier se cache dans les herbes qu'il prend la peine de fumer, mon second est un ruisseau éthylique sifflant dans nos veines, mon troisième est la création humaine sur la chaleur d'une peau.
L'art est une création humaine et pourtant, tu échappes à toutes les règles. Une machoîre carrée, le luxe des drapés, tu es à la fois baroque et renaissance. Et moi je ne me fixe pas, je me perds, je suis les préquelles d'un art roman. Peut-être est-ce pour cela que tu ne me portes pas attention. L'art est anarchiste, cherche constamment à se libérer de toutes les conventions et tu vas dans la même direction en ce qui concerne le clan. Si on pouvait tout laisser tomber, oublier Priska, oublier Kira, simplement se serrer dans nos bras, tout retrouverait sa place. Le clan aurait deux rois. Pas besoin de meneuse quand je n'ai que toi.
Mon premier se cache dans les herbes qu'il prend la peine de fumer, mon second est un ruisseau éthylique sifflant dans nos veines, mon troisième est la création humaine sur la chaleur d'une peau, mon quatrième est un mot montrant tout sans rien montrer.
La façon dont je parle de toi en faisant mine de ne rien ressentir alors que mon coeur se serre dans ma poitrine, que les autres me demandent si je parle de "celui-ci", mais que je ne peux que parler de "ce Lui-ci." Tu n'as jamais été de ceux qui se sont le plus impliqués dans les Éclairs et c'est cela qui te rendait différent. Car même si tu n'es pas un Éclair, tu es de ceux qui éclairent, Mais si seulement tu pouvais mener les gens autre part. Mener les rebelles ne sert à rien. Car si je dois tout laisser tomber, car si je dois tout abandonner, je le ferai sans rien regretter et nous redeviendrons ennemis. Amour, amour, amourir, à mourir de rire...
Mon premier se cache dans les herbes qu'il prend la peine de fumer, mon second est un ruisseau éthylique sifflant dans nos veines, mon troisième est la création humaine sur la chaleur d'une peau, mon quatrième est un mot montrant tout sans rien montrer, mon cinquième est un ennemi enterré.
Nik, Nik, Nik, Nik, ce prénom qui me trotte en tête, des volutes inintelligibles, je voudrais y arrêter d'y penser, je ne peux pas m'en empêcher. Pourquoi existe-il encore en toi, à la fin de ton prénom ? Nik, Nik, Arsenik... Et si je ne suis qu'attiré au pouvoir découlant de ce nom en toi ? Peu importe. Je suis meilleur que lui. Plus qu'un meilleur ami qui te trahit, je pourrais être ton amant, ton aimant. Aucun d'eux ne vit tant que l'autre survit...
Mon premier se cache dans les herbes qu'il prend la peine de fumer, mon second est un ruisseau éthylique sifflant dans nos veines, mon troisième est la création humaine sur la chaleur d'une peau, mon quatrième est un mot montrant tout sans rien montrer, mon cinquième est un ennemi enterré, mon sixième est ce qui tombe dans un bruit sourd.
C'est un corps qui tombe et qui se fracasse, c'est un terme physique que l'on n'utilise pas dans notre monde, que j'ai appris il y a longtemps. On disait qu'une pomme est tombée sur la tête de Newton et c'est pourtant le ciel qui est tombé sur la mienne. Tu plaquerais mon corps contre un mur pour me frapper et contre toute attente, je rapprocherai mon visage pour t'embrasser. Et tes lèvres seraient plus douces que le ressac des vagues et le monde retrouverait son sens pour une brève minute. C'est le type de force dans lequel je préfère croire plutôt que de te voir avec Ryia, Tyana, ces filles sans nom, ces filles avec lesquelles tu préfères être plutôt que d'être avec moi...
Mon premier se cache dans les herbes qu'il prend la peine de fumer, mon second est un ruisseau éthylique sifflant dans nos veines, mon troisième est la création humaine sur la chaleur d'une peau, mon quatrième est un mot montrant tout sans rien montrer, mon cinquième est un ennemi enterré, mon sixième est ce qui tombe dans un bruit sourd, mon septième est le sentiment que je ne pourrais jamais sentir pour toi.
Parce que si c'est le mot Nik qui conclut ton prénom, c'est le mot Love qui met un terme à ton nom de famille. Et peut-être que notre histoire prendra le même sens. Tu me détestes, tu te dis que je suis le seul fautif de ce qui est arrivé à Nikolas, mais quand nous avancerons, tu te rendras compte de l'amour, du Love, mas love, Maslov...
Réponses aux charades:
Premier ; Drogue Second ; eau (eau-de-vie) Troisième : Art Quatrième : Ce Cinquième : Nik (Nikolas) Sixième : Masse Septième : Love