Bonjour/soir/après-midi/noël/pâque/halloween
Attention, le pavé.
D'abord, je serais à la recherche de petits liens pour bien débuter. Je vais passer une annonce probablement pour trouver ce dont je cherche, mais si des gens sont intéressés à jouer un membre de la famille roumaine qui vient de la Transylvanie ( Genre la meuf qui débarque et encourage les DC/TC déjà,
. ) et bien, je suis tout ouïe. Entre autres, je recherche :
Le frère jumeau de Victoria
- Pour les noms, j'hésitais entre Vincere/Victor/Vioric (Deuxième prénom ;Malorius.)
- Né le 21 décembre et donc très prochainement 18 ans.
- Libre pour l'avatar, tant que la ressemblance est quand même notable (Bah oué.)
- Pour celui-ci, la personnalité est à discuter, puisque la relation entre les jumeaux est assez fusionnelle. Un serment inviolable est même à discuter, mais il faut s'attendre à une histoire assez tordu. Ils ne sont pas des cadeaux les deux Danesti.
- Il est d'ailleurs promis à une damoiselle déjà. Si vous chercher un futur fiancé, vous pouvez toujours me contacter pour en parler
tout dépend de vos tendances maso.
Petite soeur
- Camelia Sorine
- 16 ans
- Avatar libre.
- Personnalité encore assez libre je dirais.
Je vaiiis ... Simplement poster le caractère/histoire de Victoria, parce que bon, tant qu'à faire une ébauche, autant le faire bien. Par la suite vous pouvez déjà proposer des liens, qui peuvent être utiles pour ma fiche. D'autant plus qu'elle a toujours été à Durmstrang. Je tiens simplement à avertir que j'ai l'intention de briser complètement ce personnage ; donc les liens les plus tordus seront acceptés sans aucune restriction pour faire avancer vos personnages par le fait même
«
Parce que l'enfer, c'est nous, l'enfer, c'est se livrer aux flammes qui nous lèches voluptueusement la plante des pieds pour adoucir une douleur aussi délicate qu'une pétale de rose. »
La neige,
Toujours et encore une histoire de neige. C'est une histoire d'amour aux pages aussi trouble que cristalline, une épopée sans héros qui triomphe et perdure au travers du temps et des éloges. Les langues acerbes s'acharnant depuis des lustres sur une famille qui pourtant se traîne elle-même dans les bas-fonds de l'impudence. Un art, une mœurs, une éducation. La génétique du mal à sa plus simple apparence. On croit trouver une faible lueur parmi les heures sombres pour finalement découvrir que ce n'est que le simple reflet d'un espoir mourant sur les scintillements d'un fragile flocon de neige. Absorbant si aisément les émotions de par sa fluidité impressionnante, se teintant d'un rouge suite aux déboires d'une vie pathétique aux historiques pourtant voués à d'admirable fatalité. La neige, toujours et encore la neige pour débuter les premiers mots d'une histoire aussi vide que glaciale.
Des cris, toujours et encore des cris pour meubler le manoir fraîchement construit pour la nouvelle famille qu'était les Danesti, fière descendant d'un homme étouffé par sa grandeur. Parce que de toute façon, n'était-ce pas toujours une question de suprématie ? Bien entendu, si seulement vous preniez le temps d'ouvrir vos yeux et observer le monde de vos prunelles si captivé par votre propre égocentrisme. Vous ne comprenez pas, vous ne comprendrez jamais. Simplement parce qu'il y a trop à comprendre, simplement parce qu'il n'y a rien à comprendre. Et c'est dans une valse aux pas saccadés que la jeune Victoria avalait l'éducation de ses parents aux idéologies décadentes, sa petite main bien accrochée à celle de son frère jumeau qui détruisait de son cœur qui ne savait pas aimer. Crier parce qu'on aime, crier parce qu'on hait. Crier pour enflammer le monde de leur détresse, hurler pour mieux-vivre dans un monde mourant. Il n'y a toujours eu qu'eux, il n'y a toujours eu que vous, sombrant simplement dans un océan d'émotion toujours trop fort, toujours trop intense, toujours trop ; tout simplement trop. Des enfants pour l'amour, des enfants pour la gloire. Seul, il est bien difficile de perpétuer la légende n'est-ce pas ?
Et pourtant, si ses parents comprenaient combien de fois la blonde se brûlait les doigts à tenter de toucher les étoiles, peut-être auraient-ils plus de compassion pour la jeune femme qui se mourait sous l'attention constante du premier fils. Lève la tête, marche droite et parles lorsqu'il t'est permis de parler. À force, on comprend vite quelle est sa place dans ce monde d'aristocratie bien dérisoire. Les belles robes et le champagne ne sont là que pour impressionner la galerie, rehausser l'image des nobles aux idées bien fermées. Être brillante est une arme si puissante, si seulement vous en preniez conscience. Peut-être comprendriez-vous pourquoi Victoria passait le plus clair de son enfance dans la bibliothèque familiale pendant que son frère apprenait à être un héritier. Accorder si peu d'importance à une fillette qui aurait tout donné pour prouver son honneur. Peut-être auraient-ils aussi compris qu'ils ne faisaient qu'augmenter la pression de cette petite bombe à retardement. Exploser, imploser, hurler pour cet homme qui ne lâchait jamais sa main. Se faner dans les bras de cet homme qui aurait tué sous la douleur d'une peine qu'il voyait dans les yeux de sa sœur, vacillante sur un fil de folie bien trop mince pour supporter son poids.
Trop anxieuse, trop émotive, trop dépendante, trop mélancolique, trop colérique. Trop, parce que trop ce n'est jamais assez. L'éducation de la belle se fit si peu présente au fil des années, qu'il était difficile de ne pas en faire un complexe d’infériorité. Tel ne fut pas sa joie lorsqu'elle posa son premier pas dans les couloirs d'une école aussi prestigieuse qu'encline à lui porter enfin l'attention qu'elle méritait. Et pourtant, difficile fut de lâcher prise sur cette main qui lui avait toujours démontré soutiens par une simple pression. Peau contre peau, ils s'aimaient, silencieux et tourmenté, ils se délaissaient dans un torrent de mot imperceptible pour le monde trop grand qui les accueillaient. S’intégrer était difficile, tant la complexité des relations personnelles venait lui gifler la joue à mainte reprise. Fragile petit flocon de neige qui se faisait subtile, méfiant et craintif. Comment se pouvait-il qu'on la regarde, elle, qui n'était que la jumelle du premier fils ?
Voilà. Pour le moment, j'en suis là
je vais surement modifier pour intégrer plus d'informations, J'aurais entre autre besoin de quelqu'un pour jouer l'étudiant/e qui est venu percer sa bulle quelques mois après son entrée à l'école. Quelqu'un qui la force à s'ouvrir au reste du monde finalement.
Je voulais aussi demander - parce que je ne crois pas avoir vu quelque chose sur le sujet dans le règlement - si l'usage des drogues magique est permis sur le forum ? Parce que j'aurais aimé en faire une sorte d'auto-médication pour Victoria qui gère difficilement ses émotions, bien trop souvent sombres. Mais avant de m'avancer, je voudrais le feu vert.